Nos convictions

Le Digital en général et le Social Media en particulier, c’est devenu une affaire de spécialistes.
Illustration of a man working

Il y a 10 ou 15 ans encore, une agence digitale pouvait “faire l'affaire” avec une douzaine de métiers. Ce n'est plus le cas. Plus du tout :-/

Le digital aujourd'hui, c'est au moins 50 métiers différents, du conseil, de la création, du Social Media, de la performance, de l’achat d’espace, de la technologie… Saviez-vous par exemple que certains experts sont spécialisés exclusivement sur le conseil et la vente d'espace publicitaire au sein de la galaxie Amazon ?

Les besoins des donneurs d'ordre sont si variés qu'il devient très difficile pour une agence de proposer la bonne compétence, l'expertise requise. Dans certains cas, cela convient ; dans d'autres, on travaille aux chausse-pieds. Et la désillusion s'ensuit irrémédiablement…

Les donneurs d’ordre veulent des professionnels qui connaissent leur secteur.
Illustration of 4 peoples

Dans le luxe, l’automobile, la santé, l’hôtellerie, l’immobilier ou encore le food, qui n’a jamais perdu des semaines à expliquer, présenter, intégrer et… répéter les mêmes choses, encore et toujours ?

A-t-on encore le temps d’expliquer la loi Évin quand on est un alcoolier, les réglementations et le vocabulaire santé quand on est un labo, les mentions légales imposées aux banques et aux assurances ?

En choisissant d’inclure Roxane dans vos équipes, vous travaillez d’emblée avec des professionnels qui parlent votre langue, connaissent vos contraintes, utilisent vos logiciels, et qui sont immédiatement opérationnels.

Moins de temps perdu, c’est de la performance accrue et de l’investissement malin ;-)

Le modèle du salariat s’essouffle.
Illustration of man working with a dog on the floor

Soyons clairs : les employés des entreprises sont et resteront leur atout principal.

Certains disent même que les véritables clients d’une entreprise, ce sont… leurs salariés. Mais dans un monde impermanent, où les changements de cap et d’échelle sont monnaie courante, le modèle du salariat montre ses limites : rigidité, engagement moindre à terme, nécessaire évolution des compétences, jeux internes du pouvoir…

Surtout, les entreprises ont besoin de souplesse face aux variations d’activité.

Comme tous les “people business”, elles doivent rendre plus variable leur modèle économique et l’ajuster en permanence au niveau réel de leur activité.

Nous sommes désormais dans l’ère de la “Talent Economy”.
Illustration of a woman singing

L’un des faits marquants du début de la décennie 2020 restera sans doute la remise en cause profonde des organisations traditionnelles du travail, structurées autour du salariat et du présentiel. Le statut de freelance séduit des profils de plus en plus qualifiés.

La crise de la COVID-19 et la normalisation du télétravail qui en a découlé ont par ailleurs conduit de nombreux actifs à s'essayer au freelancing et à y prendre goût. C’est ainsi qu’une "Talent Economy" a émergé, composée de profils aux compétences pointues et recherchées par les entreprises, pour qui cette forme de travail est un choix de carrière assumé.

Leur nombre ne cesse de croître car la flexibilité et la liberté rendues possibles par ce modèle répondent aux aspirations profondes de nombreux actifs. Cette Talent Economy est en pleine croissance à l'échelle mondiale, et ce dans tous les métiers.

Ce phénomène touche des marchés matures comme les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Allemagne, mais se développe également dans des pays comme la France, l'Espagne et l'Italie, ou des nouveaux marchés dont la croissance est très forte.

Dans un contexte de tension sur le marché du travail, en particulier pour les postes les plus qualifiés, le recours à ces indépendants de haut niveau est devenu une alternative réelle au recrutement en CDI pour de plus en plus d’entreprises.

Source Roland Berger : entreprises et freelances, vers une collaboration structurée (2023).

Les tendances, les chiffres
(là, c’est sérieux).
Illustration of stats

75 % des entreprises mondiales rencontrent de réelles difficultés de recrutement. La croissance du marché mondial du freelancing est estimée à 11 % d'ici à 2026 et la croissance des marchés matures (USA, Allemagne…) reste soutenue, preuve que cette tendance est durable.
35 % des freelances déclarent que leur choix est irréversible. 90 % des freelances ont plus de 10 ans d’expérience professionnelle. Source Roland Berger, 2023.

Leur âge moyen en France est de 45 ans, vs 40 pour les salariés (Source Datastorm).

En France, près d’un million de personnes ont déjà sauté le pas. Et ce nombre est en croissance constante, le freelancing n’ayant jamais été aussi populaire qu’aujourd’hui (soit une hausse de… 92 % en dix ans). Source Malt et BCG, 2022

Nous étions 588 000 consultants et experts indépendants en 2009, l’année de la création du statut d’autoentrepreneur, puis 1 008 000 en 2019, soit 71 % de croissance sur dix ans.
Nous devrions être 1,54 million en 2030.

Citons enfin le Chief Digital Officer chez Pernod Ricard : “250 personnes dans mes équipes, dont 50 % sont indépendants : le modèle hybride nous permet de nous enrichir de compétences quasiment introuvables en interne”.

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